Le défi consistait principalement à capturer l'essence de la performance de Joëlle Antonia Santiago. Comprendre le souffle artistique de sa chorégraphie était crucial pour restituer fidèlement son rythme et ses émotions à l'écran. Chaque mouvement devait être saisi avec justesse pour offrir une narration visuelle aussi détaillée que la prestation en elle-même. De plus, la magnificence de la Fondation des États-Unis ajoutait une pression supplémentaire: nos images se devaient d'honorer la beauté architecturale environnante, où la lumière joue un rôle primordial. Le défi ne s'arrêtait pas là; la musique en direct interprétée par un pianiste accompagnaient la danse. Capturer ce son requérait un équilibre délicat, pour que la musique enrichisse le récit visuel sans surpasser la chorégraphie. Ce processus exigeait une coordination parfaite entre les équipes techniques et artistiques pour préserver l'harmonie entre l'image et le son.